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Trop de calories accélèrent le vieillissement

Ce n’est pas nouveau de lire que si nous consommons trop de calories, ce n’est pas bon pour la santé! En effet, en 1935, Clive McCay (1898-1967) démontrait déjà l’importance du lien entre le contenu calorique des aliments comparé à leur apport nutritif et la longévité en santé. Malgré cela, l’obésité et la mortalité liée à la consommation de nourriture peu nutritive et riche en calories sont encore d’actualité.

La restriction calorique

Une réduction de l’apport calorique peut augmenter la durée de vie en santé en vieillissant. Évidemment, les vitamines, les minéraux, ainsi que les éléments essentiels ne doivent pas être réduits. En respectant cette condition, l’expérience réalisée par McCay (1898-1967) a démontré qu’avec une diminution de 30% de l’apport calorique, il était possible d’augmenter la durée de vie des rongeurs de 30 à 50%. Depuis ce temps, des résultats similaires ont été obtenus chez plusieurs autres organismes vivants (les poissons, la mouche à fruit, les macaques japonais, etc.). Il est important de savoir que tous les organismes vivants présentent des mécanismes de fonctionnement similaires.

Les bénéfices

Grâce à la restriction calorique, on remarque une réduction de l’inflammation, du poids corporel, du niveau d’hormones de croissance, de la perte de masse musculaire, des triglycérides, du mauvais cholestérol sanguin et des risques de cancer. On constate aussi une amélioration du métabolisme des mitochondries, de la gestion du glucose et du bon cholestérol. N’oublions pas non plus la préservation des fonctions des cellules souches, de la structure et des fonctions cognitives.

Pour imager davantage les bénéfices énumérés ci-haut, nous vous présentons les résultats d’une étude réalisée avec la collaboration d’un homme, sans problèmes de poids, ayant appliqué cette méthode sur une période de sept ans. L’homme a terminé l’étude avec 40% de diminution de son mauvais cholestérol, 30% de diminution de son cholestérol total, 50% d’augmentation de son bon cholestérol, une diminution de son glucose à jeun, une diminution de sa pression sanguine et son poids corporel a diminué de 46 livres (de 180 à 134).

Mais attention, puisque l’organisme atteint un état de fragilité avec la restriction calorique, les recherches se concentrent maintenant sur des produits et des molécules qui reproduisent les mêmes effets sur les voies métaboliques (le fonctionnement cellulaire) sans danger pour l’organisme. Il n’est pas conseillé de tenter de faire de la restriction calorique sans en parler d’abord à son médecin.

À retenir

Selon l’optique biologique, l’apport calorique a sans aucun doute, un effet sur la vitesse du vieillissement puisque tout ceci est aussi en lien avec la vitesse de croissance. Chez l’enfant, si l’apport calorique est trop bas, il cessera de grandir. Son développement laissera place à la maintenance et à la réparation pour tenter de survivre durant une période de jeûne. On retrouve ce mécanisme également chez l’adulte. Le ralentissement du vieillissement apparaît aussi lorsque l’apport calorique est jugé insuffisant par l’organisme. Ici, on parle spécifiquement de l’arrêt du vieillissement primaire. Les efforts seront alors dirigés vers la réparation et la maintenance. On nomme ce processus : les effets de la restriction alimentaire.

Certaines molécules naturelles agissent de manière similaire à la restriction calorique. L’entreprise Idunn Technologies, spécialisée dans le domaine du vieillissement, a utilisé les molécules les mieux documentées scientifiquement pour proposer à tous la formule VitoliMD Bien Vieillir. Cette formule de très grande qualité fait partie de la gamme VitoliMD. Elle est vendue pour son apport exceptionnel en antioxydant et elle aide à maintenir une santé globale pour rester en santé, plus longtemps.

 

Références

  • Lambert J., Simard E. « Calories » (chap. 16), dans Vivre jeune DEUX fois plus longtemps, Marcel Broquet Éditeur, 2018, p. 165-174.
  • Simard, E. « Les apprentissages de la restriction calorique » (chap. 1.3), dans Vivre jeune plus longtemps, Marcel Broquet Éditeur, 2016, p. 57-72.

 

 

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